Auparavant, presque personne ne savait ce qu'était un business angel ou une start-up. Aujourd'hui, il est rare que quelqu'un ne connaisse pas ces concepts dans le paysage commercial espagnol. Pour cette raison, la réglementation espagnole a mis en place diverses incitations et déductions afin de continuer à promouvoir l'investissement et l'activité entrepreneuriale. Toutes ces propositions dédiées à l'écosystème entrepreneurial ont été publiées après l'approbation du Loi 14/2013 sur le soutien aux entrepreneurs et à leur internationalisation.La plus importante des propositions publiées est Déduction pour investissement dans des entreprises nouvelles ou récemment créées, une incitation fiscale dont l'objectif principal est d'encourager les investissements des entreprises espagnoles. Cette déduction a un double aspect ou une double application : - Une déduction de la contribution à l'impôt sur le revenu des personnes physiques au moment de l'investissement.- Une exonération d'une éventuelle plus-value de l'impôt sur le revenu des personnes physiques au moment de la cession.
Quel pourcentage de la déclaration d'impôts les contribuables peuvent-ils être déduits ?
Jusqu'à 30 % des montants investis au cours de la période pour la souscription d'actions ou d'actions de sociétés nouvelles ou récemment créées.
Fait important et essentiel à prendre en compte : La déduction ne peut être appliquée qu'aux actions ou actions souscrites au 20 septembre 2013 (date d'entrée en vigueur de la loi 14/2013).
La base maximale de la déduction sera de 60 000 euros par an et consistera en la valeur de l'acquisition des actions ou des actions souscrites. Initialement, la déduction proposée était de 20 % et dans la limite de 50 000 euros par an, mais au 1er janvier 2018, elle a été portée à 30 % et dans la limite de 60 000 euros.Cependant, elles ne feront pas partie de la déduction : - Le montant des actions ou actions acquises avec le solde du compte de la société d'épargne, dans la mesure où ce solde aurait fait l'objet d'une autre déduction.- Les montants remboursés par la souscription d'actions ou de participations, lorsque l'une des déductions établies par leur communauté autonome respective est effectuée dans le cadre de leurs pouvoirs en matière d'impôt sur le revenu des personnes physiques.
À quelles exigences une entité doit-elle satisfaire pour appliquer la déduction pour les investissements dans des entreprises nouvelles ou récemment créées ?
- L'entité ou la société dans laquelle elle a été investie doit avoir la forme d'une société (société anonyme, société à responsabilité limitée, société à responsabilité limitée du travail ou société à responsabilité limitée du travail) et ne pas être cotée sur un marché organisé. Cette exigence doit être remplie pendant toutes les années de tendance à l'action ou à la participation.- L'entité ou l'entreprise doit exercer une activité économique disposant des moyens personnels et matériels nécessaires à son développement. En particulier, elle ne peut avoir pour activité la gestion d'actifs mobiliers ou immobiliers, au cours de l'une des périodes fiscales de l'entité qui se sont terminées avant le transfert de ladite actionnariat.- Le montant des fonds propres de l'entité ou de la société dans laquelle elle est investie ne peut dépasser 400 000 euros au début de la période fiscale de celle-ci au cours de laquelle l'investisseur ou le contribuable acquiert les actions ou les actions. Lorsque l'entité fait partie d'un groupe de sociétés, le montant des fonds propres fera référence au groupe d'entités appartenant à ce groupe.
Quelles sont les conditions à remplir pour pratiquer la Déduction ?
- Les actions ou actions de l'entité doivent être acquises par le contribuable soit au moment de la constitution de la société, soit par une augmentation de capital réalisée dans les trois années suivant ladite constitution et restant dans votre patrimoine pendant une durée supérieure à 3 ans et inférieure à 12 ans.- La participation directe ou indirecte du contribuable ou de l'investisseur, ainsi que celle détenue dans la même entité par son conjoint ou toute autre personne liée au contribuable par un lien de parenté, ne peut, à aucun jour des années naturelles de tendance de la participation, dépasser 40 % du capital social ou des droits de vote de l'entité.- Il ne doit pas s'agir d'actions ou d'actions d'une entité par l'intermédiaire de laquelle est exercée la même activité qui était auparavant exercée par un autre propriétaire. La base de la déduction est le montant des actions ou des actions acquises avec le solde des comptes des sociétés d'épargne dans la mesure où ce solde aurait fait l'objet d'une autre déduction. Il convient de noter que la déduction pour les comptes d'épargne pour entreprises a été supprimée le 1er janvier 2015. Lorsque le contribuable, l'investisseur ou le Business Angel transfère des actions ou des actions et opte pour l'application de l'exonération, seule la partie du réinvestissement qui dépasse le montant total obtenu lors du transfert de ces actions ou actions fera partie de la base de la déduction correspondant aux nouvelles actions ou actions souscrites. La déduction ne peut en aucun cas être appliquée aux actions nouvelles ou aux actions tant que les montants investis ne dépassent pas ledit montant.Fait important : Pour l'application de la déduction, il sera nécessaire d'obtenir une certification délivrée par l'entité indiquant que l'entité se conforme aux exigences indiquées ci-dessus pour l'entité au cours de la période fiscale au cours de laquelle les actions ou actions sont acquises.
Comment compléter la déduction pour investissement dans des entreprises nouvelles ou récemment créées ?
La fenêtre de saisie des données doit refléter, pour deux entités au maximum : le montant total de l'investissement en actions ou en actions avec une limite de 60 000 euros pour tous les investissements et le NIF de l'entité.
Désinvestissement
Comme nous l'avons mentionné précédemment, pour consolider la déduction pour investissement dans des sociétés nouvellement créées, il est nécessaire que le contribuable ne conserve pas les actions ou les actions acquises pendant plus de 12 ans, il est donc obligé de procéder à la cession pour conserver l'avantage fiscal de la déduction pratiquée. La source : Agence fiscale (MANGER)